泡泡龙画艺术博客2

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françaisA partir de vendredi est lancé le booksprint Inkscape sur Paris, à la Cité des science et de l’industrie de la Villette, venez y participez nombreux, il est toujours possible d’éditer le livre en ligne sur le site du floss (lire ce lien pour plus de détails pour les francophones) en anglais ou français, il faut d’abord s’enregistrer, vous pouvez également rejoindre le canal IRC #inkscape-fr sur irc.freenode.net ou (plus probablement en anglais) #booksprint sur irc.freenode.net et sur jabber, booksprint@conference.jabber.impressusart.com

english A booksprint start friday in Paris, at la Cité des sciences et de l’industrie de la Villette. You can already edit the book in english, french (or other language ?) on the wiki of the Floss, you also can join booksprint@conference.jabber.impressusart.com on Jabber or #booksprint on irc.freenode.net on (IRC)

En ce moment, je m’essaie un peu aux pliages, j’ai voulu faire un cadre en carton pour présenter une peinture de petite taille, comme on trouve aujourd’hui, des toiles sur châssis, de 8×6cm. Ne connaissant que très peu les méthodes utilisées pour ce type de façonnage, voici comment j’ai procédé :

Cadre-boîte au cerisier

Croquis préparatoire du cadre-boîte
Croquis du cadre
Il est toujours mieux et plus rapide de commencer, après avoir pris les mesures du châssis, par des croquis du cadre, vu sous différents angles pour déterminer la façon dont j’allais le faire. J’ai été très ambitieux au départ et ai voulu faire un cadre beaucoup plus évolué, qui aurait un pied inclinable et ferait le tour du tableau (voir les croquis préparatoire). Le chassis doit pouvoir être enlevé ou remis à volonté sur le cadre mais rester coincé si l’on ne tire pas dessus.

Dans l’idéal j’aimerais faire des cadres sans colle, comme pour les origami ou les emballages de matériel électronique d’aujourd’hui. J’ai un peu observé des emballages pour connaître quelques principes, ainsi qu’un livre spécialisé « Structural package designs » (Modèles structuraux de conditionnement), cela m’a fait comprendre quelques principes de base. Mais je voulais faire quelque chose de nouveau, sinon il n’y aurait pas eu (autant) de plaisir. Après quelques croquis préparatoires il m’a paru plus prudent de commencer par quelque chose de relativement plus simple que mon idée de départ. J’ai fait L’origami de rose entre temps mais cela a du avoir assez peu d’influence sur la construction finalement.

Patron cadre sous Inkscape
Patron du cadre
J’ai voulu faire le schéma à plat, d’abord à la règle, d’après les croquis, mais me suis finalement dit que ce serait plus simple de faire ça numériquement. J’ai donc choisi tout naturellement Inkscape, qui permet de faire des dessins précis, avec l’aide de guides et d’imprimer ensuite pour découper. Je vais prochainement détailler la partie Inkscape dans un article sur le site Inkscape-fr.org. J’ai d’abord fait une version en papier pour m’assurer de la faisabilité. Ca avait l’air de tenir la route, j’ai donc refait une version en carton en tenant compte de l’épaisseur de celui-ci (arrondi à 1mm) pour les plis. J’ai malheureusement fait des languettes (la partie que l’on colle pour maintenir la structure) un peu petite et même la glue n’a pas suffit, j’ai du mettre un peu de ruban adhésif à l’intérieur pour maintenir la structure.

Quelques règles simples en découpage carton, acquises par cette experience :
* Prévoir 1 mm de moins pour la partie qui va être collée à l’intérieur.
* Faire des languettes assez longues !!
* Éviter les recoins d’1 mm de large, très dur a découper proprement au cutter.

* Pour avoir quelque chose de précis, utiliser les unités mm dans le préférences du document d’Inkscape.
* Pour les objets, choisir une épaisseur de contour noir de 0.01 mm afin d’avoir de la précision lors de la découpe et un remplissage transparent.
On peut appliquer ces réglages à la fin (sur un objet puis ctrl+c (copie), ctrl+a (sélectionne tout) et ctrl+maj+v (colle le style).

Voici le fichier SVGZ du cadre-boîte que vous pouvez ouvrir avec Inkscape. Sur cette version les languettes ont été corrigées.

Cadre-boîte, version papier
Impression
Le problème est que le carton ne passe généralement pas dans l’imprimante, il faut donc imprimer sur du papier puis attacher la feuille au carton avec des pinces ou trombones et enfin découper le carton à travers le papier. Encore une fois, il n’est pas inutile de faire une première version en papier pour essayer le découpage.

Cadre-boîte découpage carton
Découpage
Ce que j’ai appris par cette experience :
* Une fois attaché, il vaut mieux passer plusieurs fois le cutter au même endroit plutôt que d’arracher manuellement après un premier passage ; cela permet d’avoir des bords plus nets.
* Tenter, tant que possible, de couper de l’intérieur du patron vers l’extérieur

Cadre-boîte après découpage
Pliage et collage
Il faut commencer pour le carton par faire des rainures du coté qui sera plié en creux afin de faciliter le pliage et d’avoir quelque chose de plus net, il y a différentes méthodes pour ça :
* Marquer au stylo
* Marquer au cutter avec la partie métallique qui contient la lame, pas avec la lame elle même.
* Marquer avec le dos de la lame de cutter (découpe légèrement, ça aide un peu a plier plus droit peut-être).
Je ne sais pas quelle est la mieux, j’ai pas eu de résultats super satisfaisant, je ne suis pas trop content de la finition sur les plis, même si je suis content d’avoir réussi cet exploit.

Il faut ensuite trouver l’ordre de collage le plus approprié, afin que les coupes à 45° correspondent bien, que tout tombe en face et que les parties collées n’empêchent pas d’accéder aux autres parties à coller. C’est sans doute une des étapes les plus stressantes. Vivement une version sans colle ;).
J’ai fini par abandonner le collage de la partie arrière trouvant l’ouverture possible bien pratique pour y ranger des surprises ou pour tenir la peinture debout sur une table, rejoignant ainsi mon optique de départ.

Le cadre, un châssis et le couvercle
Et le couvercle
Vous pouvez trouver le SVGZ du couvercle du cadre-boîte ici, toujours à ouvrir et imprimer avec Inkscape.

J’aime bien le coté brut du carton et le préfère à celui du carton couché (plastifié) que j’ai caché a l’intérieur, mais bon, puisqu’on est dans l’art autant aller plus loin, j’ai donc peint le couvercle avant de l’offrir, en laissant le carton brut apparaître bien entendu :) :

Cerisier sur carton
Ce cerisier est à l’acrylique, ça évite les auréoles qu’aurait fait l’huile sur du carton si l’on ne remplit pas toute la surface. Ça sèche aussi plus vite (quelques minutes au lieu d’un an. La portrait de la toile, que je suppose de lin, est par contre à l’huile, permettant des nuances plus délicates. Le scan ne rend pas les empâtement de l’acrylique, mais on les voit sur la photo du début de l’article. Par contre, j’ai rendu les couleurs plus proche de l’original à l’aide de Gimp, mais n’ai pas tout à fait réussi pour les fleurs.

Résultat final
Voici le résultat final, la personne dont j’ai fait le portrait étant activement recherché par Interpol, je n’ai laissé qu’un détail, sans doute important, mais qui ne permet pas de reconnaître la personne activement recherchée.
Cadre-boîte cerisier avec toile et châssis

J’ai pour projet de faire une série de portraits cet été pour éventuellement faire une expo à la fin de l’été ou en automne. Ce travail m’y a motivé, le cadre est important dans la présentation des œuvres, mais l’échelle sera autre et le cadre ne pourra sans doute pas être fait avec ces techniques sans l’aide d’un imprimeur/façonneur professionnel..

français Il y a également une version en français de ce didacticiel.

english Today, I tried to use my EeePC with MyPaint & my Wacom Volito graphic tablet (A5 sized, A6 capture surface, less than 50€) in a library (warning, some laughed, looking at me ;) ), their compact size fit ideally with a book on a reader place :). both are flat and little enough to enter in my pocket (for the eeePC) and in a little bag with books (for the tablet), the bamboo that is the successor of the Volito could be a bit littler ??? All Wacom tablets are supported by Linux using open documentation from Wacom.

This give good results for a first test.
I use eeeXubuntu (7.10, gutsy gibbon), the Ubuntu/Debian package that is linked from official MyPaint website, and activated the wacom stylus support :
sudo vi /etc/X11/xorg.conf
at the end of the file in
Section "ServerLayout"
uncomment (remove the #) at the begining of the line
# InputDevice "Stylus" "SendCoreEvents"
and save
restart X (by rebooting or other methods), the Wacom stylus will be managed (eraser few lines later is for the stylus eraser on more expansive tablets).

Here are the three quick sketchs inspired from graphics from books (titles are on pictures filenames):
paysages d'eau à l'acrylique.p23.jpgpaysages d'eau à l'acrylique.couv.jpgLes animaux au pastel.p17.jpg

Here is a screenshot of the interface in 800×480 eeePC screen.

Mypaint brushs on eeePC

The best method is to set the canvas & brush windows at full screen both and use alt+tab to go from one to another.
I often used G (for GTK+ color dialog, same key to close it) and R to pickup color on canvas.
create more optimized brush could be better ? I used only 3 or 4.

I made a screencast of the process (16MB and 16minutes ogg/Theora vidéo), inspirated by a photography book “Des bêtes et des hommes” (beats and mens) from Yann Arthus-Bertrand photograph. This is the final result (quick sketch, with lot of manipulation error, and stress of screencast ;):
eeepcmypaint.cochon.jpg


englishThere is also an english version of this tutorial.

françaisAjourd’hui, j’ai essayé d’utiliser mon EeePC avec MyPaint & ma tablette graphique Volito (taille A5, surface de saisie A6, moins de 50€) de Wacom dans une bibliothèque (Attention, certains se sont moqués de moi en me voyant). Leurs tailles compactes rentrent parfaitement avec un livre dans l’espace de travail d’un lecteur :). Ils sont tous deux assez plats et petits pour rentrer dans ma poche (pour l’eeePC) et dans un petit sac avec les livres (pour la tablette et le stylet), La Bamboo qui est le successeur de la Volito doit être un peu plus petite ??? Toutes les tablettes Wacom sont supporté sous Linux, grace aux documentations ouvertes fournies par Wacom.

Cela donne des assez bon résultats pour un premier test.
I use eeeXubuntu (7.10, gutsy gibbon), le packet non-officiel Ubuntu/Debian qui est en lien sur le site officiel de MyPaint et ai activé la gestion du stylet de la Wacom :
sudo vi /etc/X11/xorg.conf
A la fin du fichier, dans la section :
Section "ServerLayout"
Decommenter (effacer le #) au début de la ligne
# InputDevice "Stylus" "SendCoreEvents"
puis sauvegarder
redémarrer X (en rebootant ou par une autre méthode). Le stylet Wacom sera alors géré (eraser quelques lignes après correspond à la gomme des tablette un peu plus chères).

Voilà trois croquis rapides inspirés de livres graphiques (les titres sont les noms des fichiers):
paysages d'eau à l'acrylique.p23.jpgpaysages d'eau à l'acrylique.couv.jpgLes animaux au pastel.p17.jpg

Voici une capture d’écran de l’interface sur le LCD 800×480 de l’eeePC.

Mypaint brushs on eeePC

La meilleure méthode est de mettre les fenêtres de la toile (canvas) et des brosses en plein écran chacune et de passer de l’une à l’autre grâce à alt+tab.
J’utilise souvent G (pour le dialogue de couleur GTK+, même touche pour le refermer) et R pour récupérer une couleur sur la toile.
Créer des brosses plus optimisées pourrait aider ? J’en utilise que 3 ou 4 dans la palette par défaut.

J’ai également fait une a capture d’écran vidéo du processus (16 Mo et 16 min, vidéo format ogg/Theora), inspirée par le livre photographique, “Des bêtes et des hommes” du photographe Yann Arthus-Bertrand. Cette image est le résultat final de la vidéo (croquis rapide, avec tout un tas d’erreurs de manipulation et le stress (traque) de la capture vidéo) ;) :
eeepcmypaint.cochon.jpg

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En train de faire une démo de l’eeePC chez des amis, l’un d’eux en prenant le transformateur secteur, a par inadvertance déclipsé une partie.

Il s’avère que le transformateur à une prise chinoise et un adaptateur !

Transfo de l’EeePC

La chine est, comme la France, en 220 V/50 Hz. Un simple embout suffit pour brancher n’importe quel appareil français sur une prise secteur (sur certaines prises ça n’est même pas nécessaire), mais avec ça plus besoin, il suffit de declipser la partie française.

Au passage les 2 pattes de la version chinoise sont pliable, ce qui permet de gagner encore de la place pour les voyages en Chine :).

On m’a également signalé que c’était la même prise aux États-Unis d’Amérique, mais c’est du 110 V/60 Hz. Visiblement toutes ses tensions et fréquences sont supportées par l’adaptateur, ça ne devrait donc pas poser de problèmes. Il reste toujours le Royaume Uni qui a des prises un peu plus spéciales.

P.S. : Cet article à été entièrement réalisé sur l’EeePC. La photo à été prise avec sa webcam (mode de compression :petit fichier, condition d’éclairage peu favorables), sur batterie ;), cet article est rédigé sur le navigateur Firefox intégré à la Linux Xandros préinstallé :). Au bout de quatre jours, je commence déjà à bien m’habituer au petit clavier.

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