Blog graphique 2

Au moment ou Adobe semble se tourner vers le HTML 5, Flash 64 bit Linux est enfin disponible en version beta (alpha depuis 2 ans), non seulement ça n’est plus la 10.1 qui était tantôt disponible, tantôt abandonné et indisponible, mais la 11.1 mais en plus elle est en beta et non plus en alpha.

J’ai testé ce matin, avec firefox 6.0b5. La série 6.0 beta que j’utilise et met à jour depuis la b1 est infiniment plus stable et moins gourmande que la 5.0, après un premier test de la 5.0 j’étais revenu en 4.0.1, mais la 6.0 résout les problèmes crées avec la série 5.0 (c’est aussi valable pour fennec 6.0, version adaptés au smartphones, mais existant aussi pour X11/x86). J’attends tout de même toujours impatiemment la série 7.0 qui va s’atteler à réduire l’empreinte mémoire et donc encore augmenter les performances.

Et quel étonnement, pour la première fois, je pouvais regarder des vidéos à travers flash en plein écran, ce n’est pas encore aussi fluide qu’avec le greffon FlashVideoReplacer qui court-circuite flash et l’envoie à votre lecteur vidéo favori, ça reste saccadé, mais ça devient un minimum utilisable. Ça passe d’1 image / seconde avec le CPU écroulé, à quelque chose qui à vue d’œil s’approche des 6 images / secondes avec un cpu resté suffisamment tranquille pour réagir au click sur la sortie du plein écran ;).

Autre nouveauté, Adobe semble avoir fait un effort du côté de KDE, il y a dans l’archive (qui n’a pas de répertoire de base attention en désarchivant) une bibliothèqye spécialisée pour kde, j’imagine que ce sont pour les navigateur comme Dolphin ou Rekonq :

/usr/lib/kde4/kcm_adobe_flash_player.so

Ca permet de jouer les vidéos Flash de façon moins fluide que Gnash/klash sous KDE.

La nouvelle version du plugin d’Adobe permet donc maintenant d’avoir quelque chose d’à peu près utilisable sur les sites n’étant pas encore géré par FlashVideoReplacer et comportant des vidéos, ou bien les sites qui ont eu la mauvaise idée de faire des interfaces interactives en Flash. Je ne dit pas ça pour les sites de jeux vidéo ou d’animation vectorielle, pour qui cela parait une bonne chose, mais pour les sites informatifs (information, constructeurs qui ont encore cette très mauvaise habitude, etc…), html 4 et maintenant 5 permettant de remplir tous les besoins en animations inutiles habituellement utilisées sur ces sites. C’est plutôt un avantage pour les constructeur qui peuvent ainsi cibler les gogos capable d’acheter un iPad-Ijail®©Inc. une fortune :D.

Le développement récent de Linux, notamment sur netbook et smartbook (netbook ARM) avec notamment l’initiative Linaro ou les netbook d’Asus livré à 200 € sous Ubuntu avec chose exceptionnelle 2Go de RAM (Windows Seven version de base refuse plus d’1Go, XP n’est plus vendu) et 350Go de disque dur. Mais aussi peut-être grâce au succès de Linux/Android sur les smartphones (actuellement passé OS n°1 avec 50 % des ventes, et 550.000 unités vendu par jour) poussant Adobe à faire plus d’effort dans le support du noyau Linux.

La solution opensource parfaite ARM Cortex A9 (très basse conso) + mali 400 (pilotes mesa libre dispos, crées par ARM) existe en plusieurs moutures :
* ST-Ericsson U8500 et U9500 et les plateforme Igloo (Snowboard ~200€ TTC max d’ici juin 2011), compatible Android, Linaro/Ubuntu, Meegoo. Il faut peut-être éviter tant que c’est Sarko et Berlu au pouvoir ? ST = franco-italien.
* Samsung Orion s5pv310 (A éviter tant qu’ils taperons sur la Corée du Nord pour rien), out les PowerVR 100% fermé qui étaient dans les Hummingbird, et sont dans les Texas Instrument TI OMAP (Beagleboard), TI sucks.
*AmLogic AML8726-M (éviter tant que USA en guerre, le prétexte de Ben Laden ne tient plus depuis 2009 d’après le président parkisatanais).

On peut trouver tous les CPU supportés par Linaro ici.

Faudrait peut-être carrément éviter d’acheter de l’électronique, sachant que les constructeurs font également toujours plus ou moins dans le militaire… Vivement l’anarchie planétaire organisée et pacifique (Vive Bakounine comme disait Henri Cartier-Bresson), que tout le monde vive en paix (soyons utopiques et virons tous ces vieux croutons de néo-monarchistes rétrogrades). Espérons qu’a ce moment les ingénieurs et ouvriers pourrons reprendre de façon coopérative ces entreprises avant qu’“>elles ne soient coulées par des Arnaud et autres pourris et incapables de la finance.

En attendant, ces solutions, sont moins consommatrices que les Gros-PC équipés de CPU Intel ou ARM, qui en plus d’être peu efficaces, consomme beaucoup d’énergie.

Internet (pas l’internet, Internet est un nom propre) est un projet crée par l’DAARPA, un service de recherche militaire aux États-Unis d’Amérique. Il s’est ensuite ouvert à la recherche en général, puis aux université et enfin à toute la population. Il reste quelques maillons faible pour obtenir qu’Internet soit totalement libre et indépendant et l’abolition de ses chaînes passe par des organisation réellement indépendantes et par les réseau P2P (paire à paire).

* Les DNS, (SND/Serveurs de Noms de Domaine en français), l’autorité maître reste dépendant d’une société privée située aux USA, l’ICANN, qui coupe les noms de domaine selon les bons vouloir des dirigeants de ce pays. Sans les DNS, pas de possibilité de nommer un nom de domaine dans votre barre de navigateur (popolon.org est ici traduit par les DNS maître comme appartenant au sous TLD (domaine de niveau le plus haut) .org qui lui renvoie vers le DNS gérant popolon.org. Ce dernier va traduire ensuite popolon.org ou ses sous domaines en adresse IP et renvoyer l’information à votre navigateur via le système de translation d’adresse de votre système d’exploitation. Les DNS étant gérés par dans anglophones, et ces derniers n’ayant ni accent, ni ligatures dans leur écriture, ne compter pas sur eux pour en accepter (voir le problème pour obtenir les accents sur le pinyin sur fr.wikipedia.org ceux qui sont contre se réfèrent à l’impossible obtention sur les en. et de. (l’allemand contient tout de même un ü, pour le u prononcé à la française)), bien que ce soit des éléments sémantiques du mandarin. Les opposant des accent se base sur le standard ASCII (la A étant Amérique, on retombe sur le monde anglophone). On est déjà restreint dans les accents (pas la peine d’imaginer un nom de domaine en vietnamien), il n’est même question de parler des caractères non-latins (grecs, cyrilliques, arménien, hébreu, arabe, etc…) ou encore moins des caractères non alphabétiques (écritures de l’Inde, chinois han, coréen, mongole, tibétain, laosien, thai, inuit, etc…)

La solution :

Un système de DNS décentralisé en p2p, appelé .p2p, dont les premiers brouillons parlent de l’utilisation de l’anonymiseur TOR qui a été utilisé pendant les révolutions du Maghreb de 2011. Ce dernier permet via un proxy de naviguer de manière anonyme, en rebondissant au hazard sur différents autres hôtes de ce réseau p2p. Attention cependant, les données ne sont pas encryptée, il est donc important d’utiliser un protocol sécurisé, comme HTTPS (clé 2048 bits minimum), SSH ou SFTP pour transmettre les données de façon sécurisée. On en vient à la deuxième partie;

* La certification tierce indépendante, la méthode la plus sûre (mais non suffisante, on peut toujours voler les informations), d’être certain de bien communiquer avec un tiers, si l’on ne l’a pas en face de soi, passe par un système de clé échangée de main à main (comme il est d’usage avec les clés GPG), ou pour aller vers une personne que l’on ne connais pas, de passer par un tiers de confiance. Là encore, on est dépendant de structures elles mêmes dépendantes d’une autorité commerciale, encore située aux ÉUA et vendant ces certificats à prix d’or. Bien sur si il ne s’agit que d’échanger de façon encryptée en n’ayant peu à faire de la confiance de la source, un certificat auto-signé suffit, mais les navigateurs ont tendance à affiché plusieurs alertes consécutives, suite au nombre grandissant de fraude (notamment sur les cartes de crédit) sur Internet.

La solution (au moins temporaire) :

CAcert est une organisation indépendante permettant d’obtenir gratuitement un certificat. Il serait bien évidement bien mieux d’avoir un système décentralisé, indépendant et en P2P, encore une fois. Sous Debian et dérivé (Ubuntu,…) installer le package ca-certificates (dispo depuis 2009).

* Les moteurs de recherche : Tout le monde connait Google et plus ou moins tout le monde connait ses dérives concernant les informations privées. Ils sont par exemple, copains comme cochon avec la NSA (services secrets des ÉUA, encore une fois), C’est donc le moteur de recherche à priori le plus utilisé au monde. Il est cependant assez fréquent de voir des gens taper le nom de la page qu’il veulent visiter dans la barre de recherche (souvent Google par defaut, parfois Bing ou Yahoo), puis de cliquer sur la première réponse, plutôt que dans la barre d’URL, qui leur donnerait le bon résultat bien plus rapidement. C’est ainsi qu’on trouve Baidu (le premier moteur de recherche chinois) en tête des recherches sur Google, en Chine. J’ai moi même eu une mauvaise expérience en tentant de remplacer Google par Baidu comme moteur de recherche par défaut de mon navigateur, sur un téléphone Android (Linux bidouillé par Google !!!). J’ai bien vu afficher Baidu, une présentation qui y ressemblait, mais écrit en bas de page, ©Google…, j’ai du bidouiller, je ne sais plus trop comment, pour enfin obtenir le vrai Baidu !!! Come autres moteurs de recherche de par le monde, on peut trouver le français, assez pertinent Exalead, mais il est détenu en partie par le marchand d’armes Dassault, dont le patron et un de ses alliés ont tous deux été virés par les tribunaux du la mairie de Corbeil-Essones. Il y a également une alternative indienne , que j’ai découvert par la solution que je vais donner, mais je crains qu’il ne soit pas mieux que les autres. Enfin, dans les autres alternatives, Scroogle, encrypté, et proxy à google, afin d’éviter ses dérives, Hooseek qui (en plus d’avoir un raccourci de recherche Firefox), donnerait des dons à 4 associations que l’on peut choisir librement en fonction de ses revenus, utilisant google, Yahoo et Exalead, et Blekko qui à le mérite de proposer une alternative avec un système de tags.

La solution :

Seeks (Seeks en https, peut être ajouté aux raccourcis-recherche de Firefox), un projet de moteur de recherche décentralisé en p2p. Il se nourrit pour le moment dans une phase de test, des moteurs Google, Bing, Yahoo, Exalead, et, désactivé par défaut, Yauba et Blekko. Pas de Baidu ou Soso à l’horizon pour le moment. Dans une seconde phase, il fonctionnera en vrai p2p pour les résultats. Vous pouvez soit l’installer sur votre ordinateur (Windows, Linux, etc… suit l’exemple pour Ubuntu), soit utiliser un des nombreux nœuds publiques l’utilisant, comme par exemple Seeks.fr. L’installation d’aucun des différents raccourcis de recherche Firefox pour Seeks ne fonctionne, je ne sais pas pourquoi.

Installer Seeks sur Ubuntu (en attendant un paquet), cela à le désavantage pour le moment de donner à google/yahoo/bing/… les informations que cherche votre adresse IP) :

Récupérer le paquet Seeks le plus adapté sur le PPA Seeks, puis :
apt-get install libtokyocabinet8
dpkg install seeks*.deb

Ca devrait suffir. Il est ensuite disponible à l’adresse : http://127.0.0.1:8080

Les fichiers de configuration sont situés dans /etc/seeks/ (enlever les # en debut de ligne de websearch-config, pour activer Yauba et Blekko).

L’argent centralisé dans des banques qui servent à financer guerres et projets douteux ou qui partent dans des paradis fiscaux

Solution :
BitCoin une banque décentralisée en P2P avec monnaie virtuelle. D’après une idée de Wei Dai, nommée b-money, Pour les anglophones “What is bitcoin?” animation, pour les francophones, la page Wikipedia de bitcoin

français english

Le problème principal de Firefox est que le contenu des pages comme l’interface sont dans la même file (thread) de processus. Il y a en ce moment même un travail des développeurs pour séparer ces taches, de façon à ce que lorsque le contenu d’un onglet écroule le navigateur, vous puissiez tout de même aisément fermer cet onglet. Actuellement si le contenu d’une page consomme trop de ressources, le navigateur devient totalement figé comme une grosse pierre et en plus de ralentir tout le système d’exploitation ne permet pas de fermer rapidement le fautif. Le second problème est qu’il est impossible de déterminer quel onglet prend le maximum de ressources, il n’y a pas non plus de greffon ou d’extension qui permet de le déterminer. Il est d’ailleurs peu probable que firefox tel qu’il est conçu aujourd’hui permette de mettre aisément en place un superviseur du type top pour obtenir ces informations. Il est donc à la fois impossible de reporter les problèmes au développeurs des sites ou du navigateur.

Les plus gros problèmes de surcharge des ressources par les pages dans Firefox viennent de :
* animation/publicité qui gaspillent des tas de ressources et sont plutôt fatigants pour la vue/concentration avec leurs animations. J’utilise donc AdBlockPlus (bloquePubPlus) pour réudire ces ressources gâchées qui détruisent notre planète.
* Les scrips .js (La majorité des problèmes de performances de javascript sont résolues dans firefox 4.0bx), NoScript(PasDeScript) permet de tous les bloquer par défaut et d’autoriser au cas par cas, où le contraire. Dans tous les cas, on peut bloquer au cas par cas, définitivement (interdit) ou temporairement. Généralement, je bloque tout par défaut et j’accepte temporairement et je passe en interdit les sites dédiés à la publicité ou aux statistiques (google-analytics, ad*.com…), l’avantage de passer en interdit est que l’on ne le voit plus dans la liste de premier niveau, mais on peut malgré tout le retirer des interdits si besoin. Attention, j’ai l’impression que par défaut, il interdit les web-fonts, penser à décocher Interdire @font-face dans les options.
* Le contenu Adobe Flash (J’utilise flash 10.x beta 64bits du 2010/09/27 qui est pour le moment la meilleure solution sur Linux 64 bits (les versions plus récentes sont moins bonnes), ça ne surcharge pas trop le vieux processeur mobile de mon PC fixe tant que je n’ouvre pas plus de 5 vidéos en flash simultanément, avec l’aide de FlashBlock (BloqueFlash).
* Les vidéos moins lente en remplaçant Flash par un streaming de leur contenu avec l’extension FlashVideoReplacer, celle ci remplace flash et permet de choisir la vidéo à afficher. Il y a aussi une option forcer WebM pour Youtube, mais la qualité s’en trouve réduite, comme les vidéos ne sont pas toute au format WebM par défaut (recompression avec perte). Malheureusement, ce site ne fonctionne qu’avec certains des plus gros sites de vidéos (Youtube, Vimeo, Metacafe, Ustream et quelques autres), essaie parfois de détecter les flux, mais n’as jamais réussi pour moi.
* La page par elle même. Même sans flash ni javascript, ni java, certaines pages écroulent le systèmes avec firefox-3.6x. L’avantage de rendre les pages simultanément est en fait la pire des choses dans la gestion des onglets dans Firefox. Tous les onglets sont calculés en permanences tant qu’ils en on besoin, donc ils consommes beaucoup de ressources, même si ils ne sont pas affichés. Afin d’éviter cela j’utilise BarTab (OngletBar), il permet d’ouvrir mais de laisser bloquer tous les onglets sauf le dernier au démarrage de Firefox. Vous avez le titre, mais le contenu n’est pas charger. Il suffit de cliquer dessus pour le charger. Cela permet également de ne pas attendre 2 heures lors du redémarrage de Firefox. A partir de Firefox 4, il n’est plus nécessaire d’utiliser cette extension, on peut régler le même comportement en ajoutant dans about:config la valeur de :
bouton droit => Nouveau => Nombre entier :
Option : “browser.sessionstore.max_concurrent_tabs”
valeur à 0 !!!
Mise à jour, installation de firefox 4.0b

Vous pouvez récuperer l’archive depuis le ftp ( http public too) de Mozilla.org :
http://releases.mozilla.org/pub/mozilla.org/firefox/releases/
ou, le ftp plus rapide :
ftp://releases.mozilla.org/pub/mozilla.org/firefox/releases/

Pour les versions béta, allez simplement dans le sous-répertoire 4.0bX/ (remplacer X par la dernière béta >=9), choisissez votre système exploitation (le miens est linux-x86_64, mais j’espère, bientôt, linux-ARM), et enfin la version dans votre langue préférée (fr, en ou ce que vous lisez).

Téléchargez alors le tarball, pour moi, c’est ici : ftp://releases.mozilla.org/pub/mozilla.org/firefox/releases/4.0b9/linux-x86_64/fr/firefox-4.0b9.tar.bz2.

Personnellement, j’extraie ce tarball dans /opt/ (après avoir effacé le lien symbolique précédent), je renomme le dossier créer ‘firefox’ en ‘firefox-4.0b9′ (le numéro de version) et crée un nouveau lien symbolique firefox => firefox-4.0b9. Je laisse comme ça pendant plusieurs semaine, afin de tester la stabilité. Après ce délai, j’efface le répertoire de l’ancienne version (firefox-4.0b8) :
rm firefox
tar xf firefox-4.0b9.tar.bz2
mv firefox firefox-4.0b9
ln -s firefox-4.0b9 firefox

Après avoir crée le lien, j’ajoute un raccourci via une icône dans la barre gnome en y précisant le chemin (si il n’y en avait pas déjà) :
/opt/firefox/firefox

Windows « 8 » sur architecture ARM.

* Il faut s’attendre à un temps de portage de ce système d’exploitation, pour qu’il soit adapté aux plateformes au moment de sa sortie. Actuellement, ces plateformes comportent de 256 Mio à 1 Gio de RAM, Windows 7 nécessite au moins 4 Gio de RAM, c’est donc tout physiquement simplement impossible. On peut imaginer 2Go d’ici la fin 2011, c’est la limite proposée par ARM sur la documentation du Cortex A9 qui équipe certains des nouveaux équipements qui ont commencé à sortir cet été. Nous reviendrons par la suite à la puissance pour exécuter les tâches.

* L’évolution est faite en profondeur, avec les architectures ARM de la catégorie des Cortex A15 MPCore, dont les premiers modèles devraient sortir fin 2012 (d’après ARM), qui prévoient tout ce qui est demandé dans un CPU de bureau ou de serveur moderne, la gestion d’une grande quantité de RAM (jusqu’a 1 Tio), la virtualisation etc…

* Le marché sera d’ici là bien occupé par Android et probablement par d’autres formes de Linux comme par exemple Chrome OS (autre OS de Google orienté bureau), MeeGo (Nokia et Intel), Ubuntu (la distribution la plus populaire sur les postes de travail), OLPC (précurseur des netbooks ayant déjà préparé sa tablette ARM) et d’autres distributions légères dédiées. Il y aura sans doute toujours l’iOS d’Apple sur les marchés de niche (les fameux « Apple fanboys » qui sont de plus en plus mis à l’épreuve par les sautes d’humeur de Steve Jobs et les restrictions d’utilisation). ll faudra alors un sacré travail pour Microsoft, pour convaincre les développeurs de venir continuer à développer sur ce système qui aura pris un certains retards sur ses concurrents qui sont déjà assez mûres aujourd’hui avec plusieurs années d’expérience sur la plateforme. Cela dit il y a encore 2 ans personne (sauf Google lui même ?) n’imaginait la percée d’Android. On est en tout cas loin du contexte de Microsoft développeur pour l’architecture des compatibles IBM PC (ou Wintel) crée par IBM en 81. Les systèmes basés sur le noyau Linux qui est le seul à supporter tous les pilotes de l’architecure ARM semble avoir bien marqué son empreinte majoritaire sur se domaine, le poste client informatique était le dernier où il n’était pas majoritaire.

Les principaux avantages des plateformes ARM, résident dans la bonne répartition des tâches sur les différents composant du SoC (System On Chip, système sur une puce), celui-ci comporte différents cœurs de calcul :
* CPU-s, ontrôleur-s principal-aux. L’exécution des applications, toutes les opérations de base, il font les calculs entiers et flottants génériques.
* GPU-s, processeur-s graphique-s. Plutôt dédié à l’affichage des interfaces, 2d, 3d, composition de l’ensemble de l’affichage.
* DSP-s, processeur-s de traitement du signal. encodage/décodage audio, vidéo, il peut aider au calculs 3d et aux traitement des images (effets, amélioration, reconnaissance de visage, tous les appareils photos, vidéo ou audio en ont au moins un).
* Cœur(s) spécialisés dans la compilation à la volée de code de langage de script à la volée (JIT, Just in Time). La version de base de ce cœur nommé Jazelle est spécialisé Java en raison de son historique dans le monde du smartphone, JazelleRCT est un compilateur JIT câblé matériellement sur les Cortex A8 et Cortex A9, et ThumbEE, une extension, qui est adapté à la majorité des langages de scripts, Python, Perl, .NET, Ruby ?, php ?, etc….
* Divers autres comme ceux spécialisés dans la cryptographie, les communications, etc…

Le tout repose actuellement sur une bonne compatibilité aux normes des standards ouverts définis par le groupe de travail Khronos (OpenGL pour la 3d, OpenAL pour l’audio, OpenCL pour le calcul, OpenMax pour les codecs multimédias.. et surtout OpenKODE qui centralise le tout mais n’a pas encore vraiment percé). Le système de Microsoft pour fonctionner doit adapter ses bibliothèques à tous ces standards ouverts, Microsoft à tendu jusqu’à présent à s’opposer aux standards tant qu’ils en avaient le choix, là ils sont verrouillés jusqu’à ce qu’ils deviennent dominants sur ce marché.

C’est l’utilisation simultanée et bien organisé de toutes ces ressources permettent de compenser la faible puissance de calcul du CPU lui même. Avec un système complet qui consomme 2W, on se retrouve par exemple avec un décodage vidéo 1080p via un cœur spécialisé qui ne consommera que 100mW, on est loin des 25W des coprocesseurs qui surchauffaient sur les architectures Atom d’Intel en 2009, considérés alors comme les plus performants et économique à la fois. La solution est donc ici de demander à différents spécialistes de faire leur travail efficacement, plutôt que de demander à différents généralistes de tout faire à la fois, aussi bien qu’il peuvent et à gâcher inutilement toutes leurs ressources.

Donc vu la situation actuelle de ces architectures, l’engouement énorme du grand public pour les plateformes Android, dans la lancée des netbook, qui n’avaient pourtant pas la maturité des plateformes ARM pour consommer vraiment peut et être à la fois vraiment performants. Vu le flop de Windows CE et de son successeur renommer pompeusement Windows Embedded Compact 7, Microsoft ont visiblement définitivement perdu ce marché au moins jusqu’à ce qu’il soit mûre pour faire tourner l’usine à gaz du type MS-Windows.

Quant à l’émulation d’application windows x86, le problème de différence de puissance du CPU, qui préfère reléguer aux autre, le rend quasi impossible (les émulateurs d’autres processeurs RISC et coprocesseurs pour les console de jeux, qui sont généralement pensée de la même façon fonctionnent par contre assez bien). Il faudra au moins 4 Gio de RAM pour le système, a moins d’utiliser une base Linux + 4 Gio de RAM pour windows 7 et ses applications. Il faudra s’attendre ensuite à une grande lenteur pour convertir d’un cpu surpuissant vers un cpu très léger, tout ira docn très très très lentement.

Vu la situation aujourd’hui et le temps que Microsoft arrive à alléger son système pour qu’il puisse tourner sur ce type de configuration et arrive à attirer des développeurs, on peut donc bien espérer attendre dans le meilleur des cas, 2 ans fin 2012, lorsque les premiers Cortex A15 mpcore sortirons, dans le pire des cas, 1 ou 2 ans de plus. Le problème rester inévitablement d’attendre en plus l’adaptation de toutes les applications qui tournent aujourd’hui sous MS Windows pour x86 et qui verrouillent les derniers utilisateurs.

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