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Les constructions galopantes de Pékin sont bien connues. Ce que l’on dit moins, c’est que les constructions sont limitées en hauteur selon la zone. Dans le centre de Pékin, au milieu de ce qui pourrait être le premier périphérique, les construction ne doivent pas dépasser la hauteur de la cité interdite. Plus généralement les immeubles de grande hauteur son interdits, sauf les grattes ciel de bureau d’affaire dans le quartier d’affaire à l’Est de la gare de Pékin. Plus en périphérie, à l’extérieur du 4e périphérique, les immeubles d’habitation peuvent être de taille plus imposante dans certaines limites. On y vois des constructions de grands ensembles d’habitations avec grands jardins. L’espace entre deux immeubles est également très règlementée, ce qui permet d’avoir toujours une assez bonne luminosité et vue du ciel. Ce n’est pas le cas à Shanghai ou Paris par exemple.

Au Nord Est de la ville, le quartier des beaux arts 789 (789美术区), dans l’arrondissement de Chaoyang (朝阳区), sur la rue 酒仙桥路, au Nord Est de la ville, proche de la voie aéroport express, est un quartier d’art contemporain, installé dans des usines désaffectée. L’activité y est aussi intense que dans les centres d’art contemporain équivalents en Europe. On voit en bas de cette photo une balayeuse avec le costume traditionnel de la balayeuse chinoise, chapeau de paille pour la protection du soleil, manchons pour protéger les vêtements, bleu de travail pour le pantalon et balais utilisant des brindilles de bois comme poils.

Plusieurs artistes contemporains également connus en France exposaient ce jour là, à la plus grande galerie, l’UCCA, structure privée, actuellement gérée par un Jêrome Sans qui gérait autrefois le Palais de Tokyo à Paris.

Parmis les artistes invitée, Feng Mengbo (冯梦波) qui fait cet écran gérant en pixel art animé

et Yan Peiming (严培明), professeur aux beaux-arts de Dijon et de Shanghai, qui a exposé il y a peu au Palais du Louvre, dans « Les funérailles de Mona Lisa », qui est loin d’être ce que j’ai préféré de lui.

Une autre photo du 798 (contrairement au nombre que l’on voit :

Si on continue verts le Nord, on commence à se retrouver dans la campagne pékinoise, composé de petits villages plus ou moins éparses. La aussi on réaménage à grande vitesse. La municipalité de Beijing à tout de même décidé de limité l’expansion de la population de 15 millions d’habitants actuels à maximum 18 millions d’ici 5 ou 10 ans.


Il s’agit probablement d’une des dernières charrettes à chevaux de Pékin, qui parait d’un autre temps au milieu de la modernité des véhicules du centre de Pékin. Ces quartiers ruraux, hutongs de campagne sont dans la municipalité mais hors de la ville, à 30 minute du centre ville, en passant par les autoroutes périphériques pékinois.

Ici un hutong assez luxueux de la campagne Pékinoise, au Nord Ouest. On fait pousser des légumes (un haricot d’au moins 40 cm de long) et courges (南葫芦 entre autre) le long de ces palissades. Quelques oies courent librement, et juste à coté une restaurant de spécialités de la campagne, lait de soja au gout fumé, champignons qui sèchent accrochés aux murs, spécialités de doufu (tofu), plantes sauvages et courges. Un régal.

Une meule à lait de soja (豆奶 ou 豆将) , on y place les pois de soja à presser pour en tirer le jus qui sert également au doufu (豆腐) (tofu).

Dans pékin, on peut croiser dans certains endroits, notamment les parcs, des poètes calligraphe, qui passent quotidiennement de longues heures à calligraphier des poèmes sur le sol, avec des pinceau à l’eau. Le travail est donc éphémère. On peut également trouver dans les articles de beaux arts, des panneaux spéciaux pour s’entrainer à calligraphier à l’eau, de couleur grise, ils deviennent presque noir ou le pinceau à déposé de l’eau. C’est une formule plus économique et écologique pour s’entrainer à écrire que le papier de murier et l’encre de chine. On peut trouver ce type de feuille pour 1€ au marché des grossistes en bureautique et beaux-arts (永外城文化用品), non loin du Temple du ciel.

Je suis désolé pour lui, je n’arrive pas a retrouver sa carte au moment ou je l’écrit, dès que je la retrouve, je fais un lien vers son site. Il travaille à coté de la brocante Panjiayuan (潘家园) ou ca vaut le coup de diviser les prix d’au moins la moitié quand on a une tête d’étranger comme moi.

Le quartier de Zhongguancun (中关村) (sur la ligne 10, au Nord Ouest) est un quartier également interessant pour les jeux vidéos, livres et beaux-arts.

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happy durian

Durian project

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C’est la deuxième fois que je fais le couplet Shanghai-Beijing en vacances. Cette fois ci, je n’ai pu passer qu’une journée à Shanghai, mais une dizaine de jours à Pékin. Voici un résumé en photo de quelques moments marquants de Shanghai. Lors de mon premier séjour, j’ai pu me promener a Suzhou, Hangzhou et quelques villes du Jiangnan, d’ou j’ai tiré la photo, puis la peinture de l’article, rue de Wuzhen, il faudrait que je développe ça.

Donc, une première partie sur Shanghai.

Ca commence dès l’aéroport de Paris Charles de Gaulle avec un avion Airbus A340 de la compagnie aérienne Chine de l’Est (中华东方航空) aux couleurs de l’exposition universelle de Shanghai de 2010

Dans l’avion une caméra embarquée sur la queue de l’appareil permet de voir l’avion en temps réel.

En arrivant à Shanghai, le temps été nuageux, durant quelques secondes, on pouvait voir une vision un peu fantastique vers l’Ouest. Les trois plus grandes tours de Shanghaï sortant dépassant des nuages. Je n’ai pas pu photographier cet instant, j’ai donc tenté de rendre cette ambiance à l’aide d’un croquis à l’aquarelle.

Depuis l’aéroport j’ai voulu prendre la ligne à sustentation magnetique Maglev qui relie l’aéroport à la ville. Il a l’avantage d’avancer à 301 km en vitesse de croisière (il peut avancer à plus de 400 en vitesse de pointe mais ne le fait pas, du moins pas dans cette direction, quelqu’un m’a dit qu’il le faisait dans le sens ville => aéroport international). Sur l’autoroute survolé, les voitures sont limitées à 50 Km/h.
Ce train est tout de même quasiment vide à cause de son prix exorbitant 50 RMB (environ 5€, ce qui équivaudrait à 50€ pour des Français). Ce train serait moitié prix (25€, prix de la ligne rapide entre l’aéroport de Pékin et la ville), il serait probablement quasi plein. Autre inconvénient, il ne s’arrête pour le moment qu’a une station de métro éloigné de 5 ou 6 stations de métro du centre d’affaire. Il devrait être étendu à l’aéroport international Hongqiao (虹桥国际机场) pour 2010, permettant de relier les deux en 15 minutes environ.

En arrivant dans les rue de Pǔdōng (浦东新区), on peut se laisser impressionner par la nouvelle grande tour, qui est entre le décapsuleur au design à la Starck et la tour bien pensée pour éviter les crashs des avions détournés, c”est avec ses 492 m, la deuxième la plus grande du monde (après celle de Dubaï), si l’on ne compte pas les antennes. Si on compte les antennes elle est troisième après Taipei 101 à Taïwan.

En arrivant dans Shanghai, dans l’ambiance, en dehors des jeunes gens (moyenne 30 à 35 ans) très pressés et des nombreuses voitures, on remarque une odeur très typique à la Chine (pour nous Européens) et le bruit de sortes de criquets. La photo est ratée, contre jour + telephone portable oblige.

J’ai eu la chance, au moment d’aller au musée des beaux-arts de Shanghai (上海美术馆), Place du Peuple (人民广场), de tomber sur le vernissage d’une exposition sur Dali (intitulée « Salvator Dali in Shanghai »), mer permettant de voir une bonne rétrospective de ses estampes, de quelques unes de ses illustrations et sculptures, travail que je ne connaissais que très peu et que je n’avais jamais vu à Paris.

Dans le jardin avoisinant, des centaines de feuilles de lotus, remplies d’énormes goutes de rosées, et des joueurs de cartes un peu partout.

On voit ici le décalage entre le vieux Shanghai colonial des quartiers français et les tours modernes chinoises entourant la Place du Peuple, à l’Est de cette place, la rue de Nánjīng (Nankin) (南京路), pièges à touristes locale, pleins de magasins (de chaines) bas de gamme à prix élevés, comme les Champs-Elysées à Paris ou Wángfǔjǐng (王府井) à Pékin.

Avant de partir, j’ai juste eu le temps de monter dans la fameuse plus grande tour; le Centre mondial des finances de Shanghai (上海環球金融中心), de laquelle on voit la tour Jinmiao, ancienne plus grande de Shanghai. Pour monter, il faut compter entre 100 et 150 yuans (exorbitant pour un local moyen) selon l’étage voulu, j’ai tenté l’aventure, me disant que je n’y repasserait peut être pas de si tôt. Les voitures sembles des tête d’épingles sur des mini-rails. Et les gigantesques autres tours, petites. Il faut une minutes pour arriver aux 410m (celui à 100 yuans). Cette photo à été prise au plus haut étages visitables par les touristes, 474 m + 1 m, hauteur de ma main.

Enfin, une petite fantaisie toute chinoise, une tour de plusieurs centaines de mètres de haut dont les parois sont parsemées d’énormes colonnes grecques.

contrairement à Global voice qui donne ici des opinions sur les problèmes actuelle en essayant de donner la voie aux bloggeurs du monde en les traduisant, laissant l’original et un lien vers le site, permettant ainsi de connaitre quelques opinions de l’intérieur du pays,. Même si la sélection n’est pas toujours la meilleure, au moins on y voit divers opinions. Cet autre article essaie de faire le topo de différentes tendances turcophones-musulmanes et chinoises han ou ouïghours et de leurs opinion sur ce sujet.
D’autres préfèrent imaginer et affabuler, voir appuyer des préjugés distribuée par les oligarchies.

Pierre Haski « l’expert chinois » de Rue89, qui ne connait de la Chine que quelques éléments tirés de ne je sais quelles analyses, a des points de vue fortement biaisés et volontairement ou involontairement travesti les documents qu’il utilise.

Comme j’ai tenté de mettre en commentaire sur le site de Rue89, parmi les premiers. Le commentaire s’est étrangement retrouvé 4e page le lendemain (sur la question tibétaine il y a eu censure de mes commentaires et de quelques autres contradicteurs cela dit, il y a déjà un progrès « démocratique » visible à Rue89).

Un des faits les plus marquants du moins visuellement, est l’utilisation de photo associés de commentaires contraire. Il s’agit en particulier de cet article affabulateur.

On pourra me reprocher de prendre souvent parti du côté Chinois et je ne contredirais pas, il s’agit dans mon idée d’éliminer certaines accusations contre ce pays, fait majoritairement de gens souffrant de l’oppression imposée par le monde occidental, via des mécanisme que je ne pourrais expliquer ici.

Donc le monsieur Haski commente sur les trois images qui vont suivre…
Quelques centaines de mètres seulement séparent les lieux des deux photos ci-dessous. La première est en marge d’un défile de mode pour robes de mariées côté Han, la seconde est dans le bazar Ouïgour de la ville, beaucoup plus conservateur. Les deux mondes se croisent, s’ignorent, et parfois s’affrontent.

La première photo représente en fait des Ouighours (reconnaissable aisément à leur nez plus long et leur visage moins plat que celui des Hans (dans leur diversité)) se mariant à l’occidentale, comme c’est souvent le cas en Chine aujourd’hui. La Chine s’est occidentalisée bon-grès mal-grès lors des colonisations européennes puis, cette occidentalisation à été appuyée par le régime communiste Chinois, très inspiré par les idéologies venues de France, d’Allemagne ou d’Europe plus généralement.

Les autres photos venant du bazar selon le commentateur sont assez édifiantes. On y voit par exemple une personne ayant posé on ne sait trop comment un foulard sur sa tête le temps d’une photo. Cela fait passer les Ouïghours pour des potentiels porteurs de Burqa. La récente polémique franco-nabote à démontré que la Burqa était une spécialité Afghane (certe voisine du Xinjiang), mais également un vêtement très particulier, pas un voile poser de travers pour les besoins d’une photo choc… On voit bien au fond une autre personne sans voile. Les musulmanes chinoises Hui ou Ouïghours porte un voile qui entoure la tête mais ne cache jamais le visage.

La troisième photo, voulant montrer la misère des Ouïghours par rapport au Hans, montre une Han poussant une charrette. On voit des paysans et artisans chinois de toutes nationalités (donc principalement Hans puisqu’ils sont majoritaires sur notre planète) poussant ce genre d’outils ou des vélos surchargés un peu partout en Chine. Mais l’image est encore une fois détournée à des fins de journalisme en toc-en choc parce que c’est à la mode de dire que les Chinois sont des méchants et bien plus que les autres.

Ou les commentaires du type « la police chinoise et les ouïghours » après un passage rappelant l’arrivée de l’armée nationale de libération chinoise au Xinjiang. Cela peut prêter a confusion, il aurait mieux fallu écrire « Les Ouïghours, policiers et civils », car comme le Tibet, la Mongolie intérieure et le Guangxi, elle est une des quatre Régions autonomes (et non République autonome comme l’écrit Pierre Haski, il devrait ouvrir Wikipédia, des livres universitaire des premières années de cours de chinois ou n’importe quel guide touristique (Guide du Routard, Lonely Planet), qu’il ne semble jamais avoir ouvert. Les policiers, l’armée et le gouvernement sont majoritairement de la nationalité de la région.

Un nombre important d’erreur et d’omissions sont inscrites dans cet article, dont, pour aller vite :
* à coté des ruines du bazar ouïghour => Il y a de nombreux bazars très actifs au Xinjiang, dont certains sont de grandes attractions touristiques dans Urumqi
* Une des rares statues de Mao faite après sa mort => On continue à en crée un peu partout en Chine, les billets de banques comporte tous le portrait de Mao aujourd’hui (ça n’etait pas le cas il y a 10 ans), et les billets comportes toujours des inscriptions dans les écritures des quatres plus importantes nationalités (Han, Ouïghour, Tibétain, Mongol).

Une autre photo commente l’arrivée massive des Hans par les chemins de fer et montrent différents Ouïghours (dont une femme voilée probablement musulmane) chargés de bagage sur un quai devant un train…

malheureusement, les Chinois qu’ils soit dans les 10 % des plus riches (Hans, Ouighours, tibetains, Mongols oua autres) ou qu’ils soient dans les 90 % des plus pauvres, sont comme les autres personne sur cette planète, des personnes ayant besoin de manger et de vivre agréablement…

En passant devant une boutique pas très loin de chez moi, j’ai vu un proverbe algérien assez interessent, j’essaie de le reporter dans sa plus exactitude avec ma mémoire :
« L’amour comme la haine sont des voiles filtrants, l’un ne montre que les bonnes choses, l’autre que les mauvaises ».
J’ajouterais qu’il existe chez certains journalistes des voiles modifiants voir inversant des éléments

Au passage, à Pékin notamment, on peut voir de nombreuses boutiques de kébab Ouïghour. malgré une envie folle d’en gouté, aimant parfois manger des kebabs turques et falafels libanais ou israëliens et adorant la cuisine Ouïghour, je n’ai jamais eu l’occasion de manger de ces kebabs, je me suis fait la promesse d’en gouter la prochaine fois. Il me semble qu’il y en a un à coté de la station de métro du temple tibétain Yonghe gong.

Pour les parisiens, il existe un petit restaurant Ouïghour, tenu par des jeunes Ouïghours (comprenant aussi le mandarin pour les sinophiles), 74, rue Jean-Pierre Thimbault (11e, presque au croisement avec la rue St Maure pas trop loin des stations de métro Parmentier, Couronnes et Rue Saint-Maur. Ce lieu était autrefois le restaurant de fondues sichuannaises d’une amie Han du Sichuan.

Il y a des excellentes brochettes d’agneau (au cumin et sur lequel on peut ajouter un mélange de piment en miettes, comme ca se fait un peu partout en Chine). Il y a aussi des plats à base de lamian (拉面), nouilles tirées à la main, spécialité de Lanzhou (préfécture de la province du Gansu), ville de l’autre nationalité musulmane, les Hui, accompagné de différents ingrédients. Au passage le mot chinois lamian, a donné en coréen et japonais ramen, indiquant des nouilles chinoises par opposition aux nouilles locales (soba au Japon par exemple).

Un article décrit ce restaurant

Comme arrivent les beaux jours, il ne va pas être désagréable de prendre quelques croquis en plein air. Rien de tel qu’une petite boite d’aquarelle dans la poche pour agrémenter ses croquis.

Les micro boites à aquarelle

J’ai acheté je ne sais où, il y a quelques années une micro boite d’aquarelle qui ne prend qu’un tout petit bout de poche de ce type, un ami en désirant une m’a demandé plusieurs fois où j’aurais pu en trouver. En lançant un peu les recherches, un vendeur d’un magasin d’arts plastiques a supposé que c’était un produit britannique et que sous les traces de gomme mie de pain, on pourrait en trouver la marque. Effectivement, il s’agit de Oasis Art & Craft se situant à Kidderminster en Angleterre. En lançant les recherches, on tombe sur la marque (rachat ou autre ?) Reeves art. Il n’ont visiblement plus ce produit, mais
un autre quasiment identique peut se trouver sur internet.

Les tubes d’aquarelle
On trouve par contre, des boites de tubes a aquarelle de la même marque dans différents magasins pas trop loin de chez moi. L’aquarelle se trouve en godet en plastique, séché ou en tube. En tube l’aquarelle est liquide, on l’utilise pour remplir les godets vidés, on attend que l’aquarelle sèche et se retrouve avec un godet de nouveau plein. Bien évidement, les tubes contiennent plus et reviennent moins cher.

On peut trouver l’ensemble des nuanciers des fabricants d’aquarelle sur cette page.

Les autres formes de boites relativement compactes
Il existe également d’autres formes de boites très compactes, même si elle ne sont pas aussi compactes que celle ci. Elles utilisent généralement des demi-godets, qui sont en fait la taille de godet la plus courante. On peut également trouver des tas de boites en métal, bois ou plastique vide dans lesquelles on peut mettre des demi-godets, souvent le pinceau à aquarelle et parfois une réserve d’eau et/ou une éponge. Ces boites m’ont l’air assez intéressantes :

  • Les boites Sakura koi semblent très compact, particulièrement la Sakura Koi 24 1/2 godets qui donne vraiment un bon rapport taille/godets et ceux sont visiblement les seuls à penser au stylo pinceau rempli d’eau pour faire à la fois office de pinceau et de gourde et gagner en place.On peut reboucher d’un coté le réservoir du pinceau, de l’autre coté la pointe contenant les poils ce qui le rend encore plus compact et le pinceau peut être acheté seul
  • L’idée de la petite boite ronde 10 godets et mini-pinceau que l’on trouve chez Raphael ou Maimeri (à faire dans une boite de cachou ?)
  • Dans le même ordre d’idée, le Koh-I-Noor Watercolor Wheel Stack Pack(9$ (~6,2€)ici, 32 RMB (3,2€) à Pékin, en face du musée des beaux-arts) comporte sur un diamètre de 8 cm, et sur 4 étages, 24 couleurs, c’est sans doute moins pratique pour passer de l’un à l’autre si l’on à pas la place de les étaler, mais une des solutions des plus compactes. Mise à jour :, j’en ai acheté une à Pékin, c’est très pratique les étages se verrouillent par vissage, ce qui permet de les tenir facilement après changement d’étage, il y a des belles teintes, Koh-I noor est une marque Tchèque qui fait vraiment du bon matériel (j’ai aussi acheté un sorte de Critérium à mine large de première qualité de cette marque). Je recommanderait cette boite accompagnée d’un pinceau à réservoir d’eau (voir plus bas).
  • Les boites Cotman PLUS set (et particulièrement les Cotman FIELD plus et Cotman MINI plus ainsi que les Field Box Set et Cotman deluxe sketchers box (16godets +pinceau pliable + éponge) de Winsor et Newton.
  • Les boites Van Gogh, 12 demi-godets + un pinceau qui se démonte sont relativement compact également

Sans doute moins compact
La marque Pelikan fabrique 2 boites de 24 godets (non standards et moins compacts, mais le rangement sur 2 étages permet de rendre assez compact le tout. En France, il n’y a que la version courbe (ne permet pas de ranger le pinceau) et sans blanc de chine (pour les rehauts).

Crayons aquarellables
Les crayons aquarellable (ou crayon soluble) Caran d’ache peuvent être assez compact si ils sont taillés de moitié. Mais il reste nécessaire d’avoir en plus des couleurs choisies un pinceau et de l’eau. Cette solution permet également de faire des traitements que les aquarelles plus classiques ne permettent pas (et réciproquement).

Pinceau à aquarelle (ou mouilleur)

Le pinceau à aquarelle (ci-dessus, en poil de petit gris (l’écureuil) très bon pour environ 10 €, de queue de poney mais parfois également en poil d’oreille de chien youski (redsabre en anglais) ou de tas d’autres choses) qui est proche des pinceaux chinois (photo du dessous, plus souvent en poil de loup, chèvre, parfois plume de poulet, et d’autres).

Il existe également aujourd’hui des tas de stylo-pinceau où les poils sont synthétiques et dont une bonne partie rechargeable c’est normalement prévu pour de l’eau, afin de faire de l’aquarelle, mais ça permet aussi de conserver l’encre de chine, le brou de noix, ou d’autres éléments dans la réserve, en faisant attention à ne pas le laisser plein de ces liquides plus d’une semaine, sinon, il faudra les laisser faire trempette dans de l’eau tiède pour les récupérer. Parmi les fabricants, Lettraset, Pentel, les H2O de Kuratake et d’autres marques en fabriquent de très bons ainsi que Niji que je ne connais pas. J’en ai également trouvé avec un embout-éponge changeable dans un magasin de beaux arts de Canton (Guangzhou 广州), en Chine. Bienfang produit des stylos-pinceaux spécial aquarelle, je ne sais pas si ils sont rechargeables. Mise à jour :Enfin, le top du top dans ce domaine, que j’ai trouvé en Chine, des pinceau rechargeable (à priori à eau), avec des vrais poils (bruns, blancs, etc…) et avec un système à vis pour charger le liquideà 7 RMB (0,7 €) (évitant les problèmes des marques japonaises et européennes pour le rechargement). Je les ai trouvé au marché des antiquaires (Pānjiāyuán 潘家园 ) à moins de 10 RMB (1€) l’unité en marchandant (mais avec ma tête de touriste étranger).

Do it yourself (faites la vous même)
Sans doute, la meilleure solution pour être sur d’avoir une boite parfaitement adaptée à ses besoins, j’ai fini par tombé sur un site comportant plusieurs techniques pour s’en fabriquer soi-même. Les personnes ayant été inspirées par la même boite que la mienne.

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